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UNFPA

Les femmes enceintes et les jeunes mères de Cisjordanie sont confrontées à de graves dangers en raison de la violence, des déplacements et de l'effondrement des services de santé, qui les privent d'accès aux soins essentiels.

Deux ans après le début de la guerre civile au Soudan, le conflit continue de terrifier la nation et d’anéantir les infrastructures et les services, notamment les hôpitaux, privant les individus de l’accès aux soins de santé.

À Madagascar, le mariage d’enfants est l’une des formes les plus répandues de violence basée sur le genre : 40 % des filles se marient contre leur volonté avant d’avoir 18 ans, souvent pour des raisons économiques. La plupart d’entre elles n’ont jamais été scolarisées.

« Les gens me disent que cette pratique est un héritage, qu’ils et elles s’y adonnent parce que leurs voisin·e·s le font aussi », explique Georgi Wahba à ’Uʴ, l’agence des Nations Unies en charge de la santé sexuelle et reproductive. Dans son village situé dans le gouvernorat de Minya, en Haute-Égypte, M. Wahba, 53 ans, est bien connu désormais pour ses actions de plaidoyer contre les mutilations génitales féminines, une pratique qui bien qu’illégale dans le pays reste très répandue. On estime que 86 % de toutes les femmes ayant déjà été mariées et âgées de 15 à 49 ans ont subi au moins une forme de cette pratique ; ce chiffre s’élève à 96 % en Haute-Égypte.

Aucune situation, qu’il s’agisse d’une crise ou d’un conflit, ne peut justifier des actes de violence basée sur le genre. Répondez au quiz de l'UNFPA pour évaluer vos connaissances sur les droits humains en rapport avec la violence basée sur le genre.

Tradition, chasteté, éligibilité au mariage. Voilà quelques-unes des raisons avancées pour expliquer que la plupart des femmes et filles d’Égypte aient subi une forme ou une autre de mutilations génitales féminines. En vérité, cette pratique néfaste est alimentée par des préjugés de genre, par la misogynie et l’inégalité. L'UNFPA nous emmnène à la rencontre de plusieurs personnes – grands-mères, pères, agriculteurs, enseignants et commerçants – qui se sont rendu compte qu’il s’agissait d’une forme de violence basée sur le genre et ont décidé qu’il fallait y mettre fin. Poursuivrez votre lecture pour découvrir comment ces individus sont devenus des acteurs du changement au sein de leurs communautés.

Dans de podcast, ONU Info Genève rencontre Shanley Clémot McLaren, une jeune activiste française distinguée cette semaine lors du sixième Sommet des jeunes activistes (YAS) au Palais des Nations à Genève.

Mme Esquivel est danseuse et militante au Paraguay.

Lorsque les crises frappent, leurs répercussions affectent les femmes de façon disproportionnée. Alors que les forces combattantes sont généralement composées d’hommes, les femmes et les enfants représentent plus des deux tiers de la population civile tuée dans les conflits. Les femmes et les filles constituent également l’écrasante majorité des personnes ayant subi de la violence sexuelle liée aux conflits. Pourtant, les processus de consolidation de paix sont bien trop souvent présidés par des forces armées et des responsables politiques à dominante masculine. Alors quel est le rôle des femmes et des jeunes dans la promotion de la paix ? Et comment ’Uʴ les encourage-t-elle à y prendre part ?

L’UNFPA, l’agence des Nations Unies chargée de la santé sexuelle et reproductive, s’est entretenue avec des jeunes activistes pour mettre en lumière leurs priorités pour l’action climatique mondiale.

La femme qui figure sur la photo ci-dessus a désormais choisi de rester avec sa famille à Gaza, dans ce qui reste de leur maison, à cause du manque d’alternatives lui assurant une réelle sécurité.

L’éducation complète à la sexualité est un processus d’enseignement des aspects émotionnels, physiques et sociaux de la sexualité. Elle permet de réduire le nombre de cas de grossesses et de maladies, de limiter les violences et elle transmet aux jeunes les connaissances en matière de d

Sarah Al Shamali, bénévole de 23 ans, et ses collègues apportent une aide pratique, allant des programmes éducatifs à la distribution d'eau potable, et cultivent un esprit de solidarité parmi les jeunes de Gaza.

Depuis février 2022 et le début de l’invasion massive menée par la Russie, l’Ukraine a connu une hausse fulgurante des signalements de diverses formes de violence, notamment de violence et d’exploitation sexuelles liées au conflit.

« Au début de la crise, notre travail était très compliqué. Les personnes nous arrivaient terrorisées et traumatisées ». Neïma Patricia, sage-femme, travaille à la maternité du camp de réfugié(e)s de Kalambari. Découvrez son récit.